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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/68

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jarret revêtu d’un fourreau de couleur chamois.

— Et quelles sont ces nouvelles ? dit Moore sans se retourner.

— Que Dieu nous punisse ! répondit O’Chrane, il serait bien osé à un rustre de ma façon de parler à un personnage vénérable comme est Votre Seigneurie… Milord, ajouta-t-il en s’adressant à Tyrrel, Jédédiah Smith, l’hypocrite coquin, auquel je dois respect comme à mon supérieur, m’envoie vers vous afin que vous sachiez où nous en sommes du trou de Prince’s-Street.

— Et où en sommes-nous ? dit Moore vivement.