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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 11.djvu/73

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Tout ce qu’avait pu faire pour lui le charitable Paddy O’Chrane, ç’avait été de mettre à sa portée l’énorme cruche de gin.

Lorsque le capitaine eut fini son rapport, il aligna quatre jurons en guise de paraphe final et se tut.

Tyrrel et Moore se mirent aussitôt à écrire des lettres sur le bureau.

— Mon brave garçon, dit Moore, il faut que vous portiez sur-le-champ ce billet dans Belgrave-Square, à M. le marquis de Rio-Santo.

O’Chrane prit la lettre.

— Je porterai cela où l’on voudra, tonnerre du ciel ! répondit-il, — mais où diable Votre