Aller au contenu

Page:Féval - Maman Léo, 1869.djvu/164

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Elle avait déjà honte de sa faiblesse et se gourmandait elle-même, pensant :

— Cette bête-là n’est pas plus forte qu’un ours, et je ne craindrais pas un ours, c’est sûr ! et mon défunt Jean-Paul Samayoux avait des épaules encore plus carrées. D’ailleurs, à quoi ça leur servirait-il de faire la fin de moi ce soir, puisqu’ils m’ont commandé de l’ouvrage pour de-