situées au terroir de la Gaude et du Puget, comme jouissant des prieurés de Saint-Janet et la Gaude, unis à la mense, nous ordonnons qu'il fera les réparations nécessaires auxdites deux chapelles. Que celle de Saint-Etienne, qui est comme abandonnée et presque ruinée, sera rétablie dans un an, en sorte qu'elle soit dans un état décent, et fournie d'une pierre sacrée et autres choses nécessaires pour y pouvoir célébrer, le chapitre étant obligé d'y faire dire la messe tous les ans le jour de Saint-Etienne, et d'y faire porter les ornements nécessaires, comme aussi d'entretenir ladite chapelle, ainsi[1] qu'il parait par l'ordonnance de visite de 1668. Le sieur économe aura soin de nous avertir quand la chapelle aura été réparée, afin que nous allions la visiter ou que nous y envoyions pour en faire la bénédiction avec les prières accoutumées. Et attendu que le bâtiment et domaine dont le chapitre jouit n'est pas en état, nous ordonnons qu'on y fera dans le cours de l'année les réparations et améliorations nécessaires.
La chapelle rurale de Sainte-Pétronille
Pour ce qui regarde la chapelle de Sainte- Pétronille, le chapitre fera mettre incessamment une serrure aux deux portes qui y sont, en sorte qu'on la tienne toujours fermée pendant le cours de l'année, et ce dans huit jours, faute de quoi nous
- ↑ Le document écrit ainsin. On peut penser que sur les quatre clefs des reliques, une va à l'évêque, l'autre au prévôt, les deux autres aux consuls