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Le Clocher de Rodez


 
Quand le désir nous prend, artistes ou poètes,
Ouvriers ou penseurs, gens de rien ou de peu,
De déserter Paris qui nous met l’âme en feu,
Pour aller écouter aux champs les alouettes,

N’est-il pas vrai qu’avant d’apercevoir le seuil
Que la mort, nous absents, a visité peut-être,
Mais où quelqu’un encor saura nous reconnaître,
Où, tout au moins, un chien viendra nous faire accueil ;