Page:Fables chinoises du IIIe au VIIIe siècle de notre ère.djvu/72

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Un deva[1], traversant les nues,
Jeta ces strophes bien venues :
« Les bêtes se crurent perdues
« Parce qu’un pin-lo
« Tomba dans l’eau !
« Voici ma glose :

« Lorsque vous avez peur, sachez au moins pourquoi ;
« Dans les propos d’autrui n’ayez pas toujours foi,
« Et cherchez vous-même la cause
« De toute chose. »

  1. Deva, divinité.