Page:Fadette - Les contes de la lune, 1932.djvu/44

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tu m’as conservé la vie, remis la patte et tu m’as fait trouver mon cœur ! Entre nous, c’est à la vie et à la mort ! »

Et ouvrant ses grandes ailes, il monta, monta, traversant l’espace de son vol puissant et gracieux, et ses ailes d’argent brillaient comme des bijoux dans l’azur ensoleillé.


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