XXXI.
De ses jolis pieds (Idem, 1, v. 456.)
XXXII.
Dans l’île d’Anthémoessa, où le fils de Saturne leur donna..... (Idem, 4, v. 892.)
XXXIII.
D’Hellen, ce roi dispensateur de la justice, naquirent Dorus, Xulhus, Éole qui se plaisait à conduire les coursiers. Éole engendra des rois dispensateurs de la justice, Créthéus, Athamas, l’astucieux Sisyphe, l’inique Salmonée et l’orgueilleux Périérès. (Tzetzès ad Lycophron, 284 ; et le Scholiaste de Pindare, Pyth. 4, v. 252.) (12).
XXXIV.
Un corbeau messager vint du festin sacré dans la divine Pytho et apprit des nouvelles ignorées à Phébus aux longs cheveux ; il lui dit que le fils d’Ilatus, Ischys avait épousé Coronis, fille de Phlégyas, issu de Jupiter. (Le Scholiaste de Pindare, Pyth. 3, v. 14 et 48.)
XXXV.
L’Amaryncide Hippostrate, rejeton de Mars, glorieux enfant de Phyctée, chef des héros épéens. (Le Scholiaste de Pindare, Olyn. 10, v. 46.)
XXXVI.
Le parti que son esprit jugea le meilleur fut de le retenir et de cacher, contre son attente, le glaive superbe que lui avait fabriqué l’illustre Vulcain, afin qu’en cherchant seul cette arme sur le haut Pélion, il succombât dompté par les Centaures, habitans des montagnes. (Le Scholiaste de Pindare, Ném. 4, v. 95.) (13).
XXXVII.
Éson, père de Jason, pasteur des peuples, que Chiron éleva sur le Pélion couvert de forêts. (Le Scholiaste de Pindare, Nem. 3, v. 92.) (14).
XXXVIII.
Médite dans ton esprit prudent chacun de ces conseils : D’abord quand tu arrives dans la maison, offre de magnifiques sacrifices aux dieux immortels. (Le Scholiaste de Pindare, Pyth. 6, v. 19.) (15).
XXXIX.
Alors, pour la première fois, à Délos, Homère et moi, mariant nos chants en des hymnes nouveaux, nous célébrions Apollon au glaive d’or, ce dieu que Latone enfanta. (Le Scholiaste de Pindare, Nem. 2, v. 1.)
XL.
Ou telle que dans Phthie, dotée de ses attraits par la main des Grâces, la belle Cyréne habitait auprès des ondes du Pénée. (Le Scholiaste de Pindare, Pyth. 9, v. 6.)
XLI.
Ou telle que, dans Hyrie, la prudente Mécionice donna Euphémus à Neptune qui ébranle la terre, après s’être unie d’amour avec lui, grâce à Vénus à la parure d’or. (Idem, Pyth. 4, v. 35.)
XLII.
Devenue enceinte, elle enfanta Éacus, qui aimait à conduire les coursiers. Lorsqu’il eut atteint le terme de l’aimable adolescence, il s’affligeait d’être seul. Le père des mortels et des dieux métamorphosa toutes les fourmis qui se trouvaient dans cette île charmante en hommes et en femmes à la large ceinture. Ces peuples d’abord fabriquèrent des vaisseaux à deux rangs de rameurs ; les premiers ils y placèrent les voiles, ces ailes du navire qui traverse les mers (Tzetzès ad Lycophron, 176 ; et le scholiaste de Pindare, Olyn. 8, v. 27.)
XLIII.
Il eut pour fils généreux Sérus et Alazygus. (Le Scholiaste de Pindare, Olymp. 10, 83.) (16).
XLIV.
Il existe une contrée nommée l’Ellopia, riche en moissons et en pâturages, abondante en brebis et en bœufs aux pieds flexibles. Là habitent des hommes qui possèdent beaucoup de bœufs et d’agneaux, et dont la foule innombrable forme une des tribus de la race mortelle. A l’extrémité de ce pays s’élève une ville, appelée