difficultés, et Ferdinand attendit hien impatiemment le jour qui devoit dissiper cette obscurité. Il alla chez le pasteur, qu’il trouva au milieu de ses cahiers de musique ; et en donnant tout naturellement un autre tour à la conversation, il saisit l’occasion de s’informer de quelques-unes des personnes avec qui, la veille, il avoit passé la soirée.
Il ne recueillit, malheureusement, que des réponses peu satisfaisantes à ses questions, concernant la demoiselle aux cheveux blonds et le mystérieux vieillard ; car le pasteur avoit tellement été absorbé par sa musique, qu’il n’avoit pas fait attention à beaucoup de personnes qui étoient venues chez lui ; et Ferdinand eut beau lui décrire, de la manière la plus détaillée, l’habillement et d’autres particularités, il