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Page:Fargèze - Mémoires amoureux, 1980.djvu/30

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suivit, et je les vis se fondre dans le lointain, jusqu’à n’être plus qu’une vague estompe, puis s’effacer, disparaître derrière l’épaule d’une colline. Alors, encore tout enivré des baisers que j’avais reçus, le cœur lourd de bonheur et de tristesse, je laissai de douces larmes noyer mes yeux.