Page:Farrere - Mademoiselle Dax.djvu/101

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Les branches des sapins, lourdes de pluie, filtraient des gouttes. Mademoiselle Dax, le front baissé, reçut un filet d’eau dans le cou sans tressaillir.

— Ça y est, il pleut pour de bon, – dit Fougères. – Sauvons-nous, ou gare le déluge…

Ils coururent.