Page:Farrere - Mademoiselle Dax.djvu/112

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causeries matinales, vers madame Terrien, vers Bertrand Fougères.

— Ça y est, – soupira madame Dax, découragée ; – la voilà repartie, elle n’entend plus ce qu’on lui dit. Décidément, ça ne te réussit pas, à toi, la montagne ! À Lyon, tu étais déjà pas mal absurde ; mais ici, tu deviens idiote. Et si ce n’était pas la santé de ton frère, il y a belle lurette que nous aurions repris le chemin de chez nous !