Page:Farrere - Mademoiselle Dax.djvu/42

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Une voix violente s’élança par la porte arrachée plutôt qu’ouverte, – la voix d’une dame agressive qui secouait à deux mains le chambranle, – madame Dax, grosse et courte, jaune de peau, noire de cheveux.

— Alice ! Alice ! Bonté divine, ma fille, te voilà encore en robe de ville ! À sept heures passées ! Est-ce que tu te moques de ta mère ?