Page:Farrere - Mademoiselle Dax.djvu/81

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Il passa sa main sur son front, et mademoiselle Dax admira ses longs doigts minces ; déjà il avait repris un ton léger :

— Mais si ! je crois à toutes les guitares en question ; j’y crois tellement que je suis moi-même artiste et poète, et, bien entendu, amoureux…

Il se leva d’un bond :

— Musicien, de la musique !

Mais Gilbert Terrien n’en voulut pas faire.