Page:Fath - L’Influence de la science sur la littérature française, 1901.djvu/105

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
— 99 —

et dans ses iclîïlinns axcc les (liv « M’s iiiiliciix (|ii’il a liaNt’rsi’s. Le moment est venu (r<’V(>(nicr en pleine rc’aliUf les j^TOUpes (le diseiples ou d’admirateurs donl il a provoque^ la forinatioii. Autrement dit, il faut arlievr’r pai* le dehors la besoî^ne cpie l’analyse avait entreprise par le dedans, et compléter le travail proprement scientiHcpic par une rrsiirrccl ion a r ti s ticp i e. ilciiuequin a tenttf lui-même l’application de sa tluîorie dans deux séries d’études, intéressantes sans doute, mais (pii n’en laissent pas mesurer exactement la portée’. On ne [KMit lui reprocher d’avoir voulu donner la solution des questions soulevées ; mais il ne les a pas traitées systématicpiement, et cela diminue la valeur de ses assertions. Et {)uis ses recherches sont forcément limitées au domaine exploré jusqu’à présent par la science ; trop souvent l’hypothèse viefit se substituer à l’observation. Il éclaire le problème des contradictions (pii nous frappent chez Flaubert en les rapportant, en dernière analyse, à l’existence simultanée de deux séries d’imag-es verbales différentes, et en aj>pliquant sa théorie de l’influence des acquisitions verbales sur les idées. Mais il ne nous apprend pas i » Tand’chose en nous disant que le fond de la cérébralité de Zola est constitué par un réalisme intellectuel et un idéalisme volitionnel. Ses vues sont parfois simplistes et ses explications s’en ressentent. C’est ainsi que, non content de rattacher au verbalisme fondamental de V. lïu^o ses procédés de style, la superficialité de sa psychologie, son ^oùt pour les épigraphes et les titres métaphoriques, il prétend expliquer par cette particularité intellectuelle sa vie, ses haines, ses admirations, sa philanthropie, sa g ; loire même de poète populaire ! Les lacuiu’s (bi système so ! il inq)u^ Les àcriiHihis francisés. Oiie/ques écriintlns françuis.