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la nécessité des temps. L’homme, qui les connaîtra bien, possédera en eux la science de tout. 592.

Après quoi, on raconte avec un grand développement les règles variées de la délivrance. Ceci termine le douzième chant, aimé des hommes savants. 593.

Sachez, ô vous, qui thésaurisez la pénitence, que ce parva renferme ici trois centaines de chapitres, plus trente-neuf autres lectures. 594.

Il contient quatorze mille sept cents çlokas, et neuf en sus de vingt-cinq. 595.

À la suite de ces choses, vous aurez à connaître le sublime Anouçâsana-parva, où le roi de Kourou, Bhîshma, fils du Gange, rappelle la vérité du devoir à Youddhishthira, qui rentre dans son assiette naturelle. 596.

Ici, sont exposées entièrement les occupations, qui ont pour objet l’intérêt ou le devoir, l’acquisition de la récompense attribuée aux divers genres de dons, 597.

Les différentes capacités des personnes, la plus haute règle touchant les dons, l’acquisition des règles de la bonne conduite, et la voie suprême de la vérité, 598.

Et l’excellence des paroles, et les discours des brahmes, et ce qui touche aux mystères, et le recueil abrégé des temps et des lieux pour les devoirs. 599.

Tel est ce magnifique Anouçâsana-parva aux récits nombreux, où est racontée l’apothéose de Bhîshma dans le ciel. 600.

Ce treizième chant, qui donne un appui sûr à la vertu, contient cent quarante-six chapitres ou lectures. 601.

Il renferme un nombre de huit mille çlokas. Ensuite de quoi, vient le chant quatorzième, nommé l’Açva-médhika.

On y raconte l’épisode supérieur de Sambartta et de