Vaîçampâyana dit :
Grâce à la protection d’Youddhishthira, au maintien de la vérité et à l’extermination des ennemis, il n’y avait pas une créature, qui ne trouvât son bonheur dans ses occupations régulières. 1204.
Grâce aux dons, que répandaient les puissants, grâce au devoir, dont les lois étaient respectées, Indra versait les pluies à souhait et les campagnes étaient fécondes. 1205.
La surveillance des troupeaux, l’agriculture, le commerce, toutes les entreprises suivaient bien leur cours ; mais il n’était rien de tout cela, sans exception, qui n’eût pour sa cause les soins du monarque. 1206.
On n’entendait pas le roi ou un favori du roi se dire l’un à l’autre, sire, des paroles sans justice pour des voleurs ou des fripons. 1207.
Ni la sécheresse ou l’inondation, ni les malheurs causés