Cette page a été validée par deux contributeurs.
LE PÈRE MICHEL.
I.
soleil de mai.
Le soir de la Saint-Michel, j’écoutais le vent de Nord-Est passer en gémissant entre les branches dénudées des peupliers qui bordent mon jardin. Il tordait leurs grands faîtes désolés par la grive et la tourmente ; puis descendant et miaulant le long de