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Page:Ferland - Entre deux rives, 1920.djvu/137

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L’ADIEU

à mon Filleul.


ESPOIR !…

Dessous la naissante feuillée
J’entends monter des airs connus :
Le chant des oiseaux revenus
Berce mon âme ensoleillée…


Dans la nature et dans les cœurs
Tout n’est que chansons et fraîcheurs !


L’Espoir renaît au fond des âmes
Des jours heureux, des jours de Paix ;
Nous verrons sous l’ombrage frais
L’Amour tisser de fines trames…


Dans la nature et dans les cœurs
Tout n’est qu’espérance et douceurs !