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Page:Ferny - Chansons de la roulotte, 1900.djvu/108

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Le pauvre homme alors s’effara :
« Mariann’, c’est un’ bête… un’ gross’ bêt’ qui t’mordra !
C’est un rat… non, un éléphant…
Ah ! mon Dieu ! quel chameau d’enfant ! »