Livre:Ferny - Chansons de la roulotte, 1900.djvu

éléments Wikidata
La bibliothèque libre.
TitreChansons de la roulotte
AuteurJacques Ferny Voir l'entité sur Wikidata
IllustrateurDessins de Lucien Métivet
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1900
Bibliothèquehttp://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5452276s
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger

Pages


TABLE[1]
Dzim ! boum ! boum !  
 III
Le Sourire 
 9
La chanteuse et le conférencier 
 15
La disparition du Congo 
 23
La mission japonaise 
 31
Le Paris des princes 
 39
Le Tsar à Paris 
 47
L’Émile Zola d’Édouard Toulouse 
 55
Une chanson de café-concert 
 65
Monsieur Constans aux prises avec l’adversité 
 73
Le duel Orléans-Turin 
 81
Le secrétaire de Monsieur Bérenger 
 89
L’alliance à Marianne 
 95
Royal ricepsheune 
 103
Ga… 
 111
Le mauvais côté de Monsieur Jaurès 
 119
La profession de foi d’un député sortant… 
 127
La meilleure réclame 
 135
Le désarmement des peuples 
 141
Le « mot » de Monsieur Dupuy 
 151
Le réveil du lion 
 159
« Communiqués » relatifs aux Grands-Ducs 
 171
Les Grands-Ducs 
 177
Lebret content de son sort 
 185
Le meilleur Président 
 193
Le chapeau de la République 
 201
Le fou de la rue Chauveau 
 207
La déposition de Casimir 
 215
La conspiration des bouchers 
 223
La recette pour faire un complot 
 231
Le rêve de Joseph 
 241
  1. ↑ Contrairement à tous les précédents, les numéros de la pagination sont inscrits en bas des pages au lieu de l’être en haut. Mon excellent collaborateur Métivet m’a donné la raison de cette anomalie ; elle est très simple… Il est fâcheux que je ne m’en souvienne plus ; sans quoi, je vous l’aurais confiée avec plaisir.
    Dans ces conditions, la recherche des chansons énumérées à la table paraîtra, au premier abord, un peu ardue à ceux de nos lecteurs qui n’auraient pas pris la précaution de s’y exercer dès l’enfance ; mais, en deux ou trois semaines d’entraînement méthodique et de patient labeur, l’homme le plus réfractaire à la science mystérieuse des chiffres exécutera cette opération avec une telle facilité qu’elle deviendra pour lui un jeu tout à la fois sain et passionnant. Même l’acheteur obtus ou complètement abruti, que le texte et les dessins n’intéresseraient pas, trouverait dans cette exquise distraction une compensation valant exactement 3 fr. 50.
    J. F.
Récupérée de « https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Livre:Ferny_-_Chansons_de_la_roulotte,_1900.djvu&oldid=13276967 »