Page:Ferny - Chansons de la roulotte, 1900.djvu/175

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Quand j’explique une affaire,
Ma parole est si claire
Que j’ai Pair de la faire…
C’est comm’ si j’la faisais !
La dame fait : « Ah ! mais… ![1]
Ah ! mais… ah ! mais… ah ! mais… ah ! mais… !

VII

 
Si bien qu’un noir présage
Ride alors mon visage.
« Prends vit', dis-je, la sage
Précaution d"usage
Contre certains effets ! »
Ah ! mais… ah ! mais… ah ! mais… !
La belle avec outrance
Rit de ma remontrance ;
Mais j’n’entends pas qu’la France
Puisse, par mes excès,
S’augmenter d’un Français !
Ah ! mais… ah ! mais… ah ! mais… ah ! mais… !

VIII

 
Moi septuagénaire !
Moi valétudinaire !
Allons donc ! Mais tonnerre !
Je suis un sanguinaire !

  1. D’une voix mourante.