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Page:Ferry - Balzac et ses amies, 1888.djvu/61

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— Pauline n’est pas vraie, n’est-ce pas ? demanda un jour au romancier la duchesse de Castries, — une coquette de haut vol.

— Oh ! Madame, répond-il, pour moi, Pauline existe, et plus belle même. Si j’en ai fait une illusion, c’est pour ne rendre personne maître de mon secret.