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Page:Feuilleret - Voyages à la recherche de Sir John Franklin, 1861.djvu/13

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introduction.

tristesses permanentes un charme victorieux, quelque chose comme cet attrait fatal dont Edgar Poë s’est plu à décrire les voluptés. Quand ce ne sont pas de simples baleiniers qui s’en vont fouiller les plus abordables retraites de cet Eldorado funeste, ce sont des savants que ses mystères y attirent. Bien mieux, ce sont des gens du monde qui quittent la terre féconde et bienveillante de la patrie pour s’en aller contempler, d’un œil habitué aux féeries des Italiens et d’Opera-house, les épouvantements de ces régions hostiles [1]. »



  1. Léon Renard, (Voir le Moniteur universel du 7 janvier 1860.)