pourquoi je vous ai fait battre la mesure, ce dont vous vous acquittez assez mal, il faut vous rendre cette justice.
Ah ! c’est que je n’ai jamais été chef d’orchestre, moi, voyez-vous.
Enfin, monsieur, tout s’explique et tout s’arrange.
Je vous fais mes excuses !
Monsieur, et maintenant, je vous rends votre liberté !
Je comprends, mademoiselle.
Mademoiselle Dubarroy demeure à côté.
Oh ! je n’irai point chez mademoiselle Dubarroy, je n’en ai plus envie, je vous assure. (Avec un peu d’émotion.) Mademoiselle, j’espère qu’un jour ou l’autre, bientôt peut-être, j’aurai l’honneur de vous être présenté.
Mon Dieu, on se retrouve dans le monde.
Et que je pourrai ainsi renouer régulièrement une connaissance faite aujourd’hui d’une si étrange façon !
Je souhaite que le hasard vous vienne en aide, monsieur.
Oh ! au besoin, ce sera moi qui l’aiderai, mademoiselle…