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Page:Feydeau - La Puce à l’oreille, 1910.djvu/160

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des aquipropos ; d’abord, je m’appelle Poche. Et puis, si vous ne me croyez pas, demandez plutôt à Baptistin.

Il remonte vers le lit.
RAYMONDE, remontant un peu vers le lit.

Baptistin ?

TOURNEL, remontant également de façon à occuper le 2.

Quel Baptistin ?

POCHE (1).

Le vieux monsieur malade !… Attendez.

Il appuie sur le bouton à gauche du lit ; la tournette fonctionne, amenant le lit dans lequel est couché Baptistin.

BAPTISTIN.[1]

Oh ! mes rhumatismes… mes p…

POCHE, s’asseyant sur le pied du lit.

Non ! Il ne s’agit pas de ça ! Dis un peu : qui que je suis ?

BAPTISTIN, se mettant sur son séant.

Comment, qui que t’es ?… Tu ne le sais pas ?

POCHE.

Moi, si ! mais c’est pour madame !

RAYMONDE, passant devant Tournel de façon à prendre le 3.

Oui ! qui est monsieur ?

BAPTISTIN (2).

Mais… c’est Poche !

TOURNEL (4) et Raymonde (3), avec un même recul d’étonnement.

Poche !

  1. P. 1. — B. dans le lit, 2. — T. 3. — R. 4.