Page:Feydeau - La Puce à l’oreille, 1910.djvu/161

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BAPTISTIN.

Le garçon de l’hôtel.

POCHE.

Là ! qué qu’j’ai dit ?

RAYMONDE, n’y voyant plus clair.

Ah ! Çà voyons… ! Voyons ! Comment, il serait vrai ?…

FERRAILLON, du haut de l’escalier qu’il descend, appelant.

Poche !

TOURNEL.

Une ressemblance pareille !… Allons ! ce n’est pas possible ! tout cela est un coup monté.

FERRAILLON, appelant.

Poche ! Eh ! Poche !

POCHE, répondant de la chambre, à l’appel de Ferraillon.

Chef !… (Aux autres.) Je vous demande pardon !… Le patron m’appelle.

RAYMONDE, au moment où il va sortir l’attrapant par le bras et le faisant pivoter pour se livrer passage.

Le patron !… Ah ! bien ! Nous allons savoir !…

Elle gagne le hall.
TOURNEL, de même que Raymonde attrapant Poche par le bras et le faisant pivoter.

Mais ôtez-vous donc de là !

Il emboîte le pas derrière Raymonde.
RAYMONDE, à Ferraillon.

Monsieur ! Monsieur !

FERRAILLON.

Madame ?