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Etiennette, apportant à Guérassin la tasse qu’elle a préparée pendant ce qui précède.
Mais, laisse donc Guérassin tranquille, il n’a rien à voir dans tout ça.
Elle remonte.
Guérassin, sa tasse en main, gagnant la droite du canapé.
Là ! C’est clair !
Musignol.
Pardon ! il me doit des comptes !… (S’asseyant sur le tabouret, à droite de la scène.) Comment ! j’accours ici, n’ayant qu’une idée : revoir mon Etiennette, lui apporter toutes les économies d’amour de cinq semaines de célibat… !
Etiennette, tout en tendant une tasse de café à Paulette par-dessus le dossier du canapé.
Haussant les épaules.
Ah ! laisse-moi donc tranquille !
Musignol, remontant vers Etiennette.
Oui, de célibat ! Paulette qui était debout, un genou sur le canapé, une fois servie, s’assied sur le canapé.
Etiennette, lui coupant la parole.
Du café ?
Musignol, interloqué.
Hein ?… Je veux bien. (Reprenant.) Et au lieu de l’accueil que j’attendais, je trouve