entre les deux tabourets.) Oh ! mais je vous en prie madame, asseyez-vous donc.
Pardon !
Madame !
Ma cousine, madame Heurteloup.
Mais je crois déjà avoir eu le plaisir d’entrevoir madame. C’est au moment où je prenais congé de madame la comtesse ; madame est entrée si je ne me trompe et alors… ! Seulement je n’avais pas eu l’honneur de… de, euh ! (Interloquée par l’attitude d’Eugénie, qui a écouté tout cela, l’air dédaigneux, la bouche en cul de poule, le regard dans le vague et avec ces dodelinements de tête tels qu’en ont les vieilles filles.) Asseyez-vous donc, madame, je vous en prie.
La comtesse et Eugénie s’asseyent sur les meubles indiqués, Etiennette sur le tabouret de droite.
Ah ! madame, la démarche que je viens faire près de vous est d’un ordre tellement délicat… !