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LE BOURGEON
JEAN-LOU.
Et moi à côté.
L’ABBÉ.
Mes compliments, Jean-Lou, c’est tout à fait gentil.
JEAN-LOU.
Ah, bien, je suis bien content, monsieur l’Abbé !
Il remonte au-dessus de la table pour ranger ses outils et se préparer au départ.
L’ABBÉ., à la Mariotte.
Je sors, la Mariotte.
LA MARIOTTE.
Où est-ce que vous allez encore porter notre vin ?
L’ABBÉ.
Qu’est-ce que ça te fait ?… puisque nous n’en buvons ni l’un ni l’autre.
LA MARIOTTE.
Possible ; mais quand il n’y en aura plus pour mettre dans les burettes, hein ? comment fera-t-on pour le Saint-Office, hein ?
L’ABBÉ., la singeant.
Eh ! bien, on en fera venir d’autre « hein » ! Ne grogne pas. Je m’absente cinq minutes. Si madame la comtesse et sa fa-