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Page:Feydeau - Le mariage de Barillon, 1890.djvu/13

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Topeau. —C’est que… je ne l’ai jamais joué !

Flamèche. — Ça ne fait rien ! Vous n’avez qu’à lire. (Chantant).


Ecoute Juliette,
L’alouette déjà nous annonce le jour !

(Parlé.) À vous !

Topeau. — Ah ! c’est à moi ?… Mais c’est que je ne sais pas l’air.

Flamèche. — Il y a les notes.

Topeau. — Oui, je vois bien qu’il y a les notes, mais il n’y a pas l’air.

Flamèche,  — Oui !… Eh ! bien, ça ne fait rien, chantez sur l’air que vous voudrez. Je reprends. Chantant.


« Ecoute Juliette, »
« L’alouette déjà nous annonce le jour ! »
Topeau, chantant sur l’air « En r’venant de la Revue »
« Oui, tu dis vrai, c’est le jour ! »
« Fuis ! — Il faut quitter ta Juliette »