Page:Feydeau - Le mariage de Barillon, 1890.djvu/57

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(Pendant que le maire pose la question à Virginie, même observation que pour la précédente question.)

Ensemble

Patrice, à Virginie, de loin. — Dites non ! dites non !

Barillon. — Voulez-vous vous taire

Tous. — Assez ! assez !

Voix de Planturel, dominant le tumulte. — … À prendre pour époux M. Gustave Barillon ?

Ensemble

Patrice. — Non ! non !

Tous. — Si ! si !

Planturel. — Mais taisez-vous donc, à la fin !

Brigot. — Quel mariage ! mon Dieu ! quel mariage !

Planturel, à Virginie. — Eh ! bien, vous consentez ?

Virginie. — Oui, monsieur le maire.

Tous, avec joie. — Ah !

Patrice, avec rage. — Ah !

Planturel. — Au nom de la loi, je vous déclare unis par le mariage.

Barillon. — Ah ! enfin !