Ah ! c’est parce qu’il a travaillé !… (Changeant de ton.) Mais il est facile de se rendre compte qu’il a l’haleine trouble. (À Toto, en lui dirigeant la tête vers la figure de Chouilloux.) Tiens, fais « hhah » dans le nez de monsieur !
Non, merci ! non !
Quoi ? vous n’êtes pas dégoûté de l’haleine d’un enfant ?
Du tout ! Du tout ! mais…
Eh ben, alors ?… (À Toto, en lui poussant comme précédemment la tête vers la figure de Chouilloux.) Va ! fais : « hhah » dans le nez du monsieur !
Mais non ! mais non ! je vous assure, je n’ai pas besoin ; je me rends très bien compte… ! (Se rasseyant et à Toto.) Qu’est-ce que c’est, mon petit ami ? C’est comme cela qu’on est raisonnable ?… Comment vous appelez-vous ?
Eh ! bien, réponds, voyons ! Comment t’appelles-tu ?
J’veux pas me purger !