Page:Feydeau - Tailleur pour dames.djvu/124

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Bassinet, montrant Moulineaux.

Eh bien ! c’est lui, parbleu !

Moulineaux.

L’imbécile !

Aubin.

Je vous croyais couturier.

Moulineaux, en confidence à Aubin.

Chut ! oui, je l’ai été… par procuration… C’est ma tante qui était couturière.

Aubin.

Oui ? Fallait donc le dire !

Moulineaux.

Je ne le pouvais pas.

Aubin.

Et pourquoi ça ?

Moulineaux.

Pour ma famille, c’est une tante naturelle !


FIN