Page:Feydeau - Tailleur pour dames.djvu/123

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Bassinet, à sa femme.

Enfin, regarde, toi !

Rosa.

Oh ! mon ami, tu es dur pour moi !

Bassinet.

Comment, vraiment… au fait c’est vrai… ça ne te ressemble pas du tout.

Suzanne, à Aubin.

Comment, alors tout ça c’est donc vrai…

Aubin.

Mais je te le répète depuis une heure.

Suzanne.

Ah ! mon cher Anatole…

Aubin.

Va, je te pardonne.

Yvonne.

Et moi, me pardonneras-tu ?

Moulineaux.

Oh ! ne me demande pas pardon, ce serait trop !

Madame Aigreville.

Sont-ils bêtes… heureusement que je suis là, sans ça, ça recommencerait demain.

Yvonne.

Mon cher mari !

Moulineaux, tressautant.

Haigne !!

Aubin, auquel les paroles d’Yvonne n’ont pas échappé.

Son mari… mais alors le docteur Moulineaux…

Moulineaux, embarrassé.

Euh ! le docteur ?