l’air d’une bonne petite mère et puis pas fière. (Paraît Moulineaux.) Ah ! vous voilà !…
Lui… Encore là ! (Voyant Suzanne qui entre à sa suite, il la repousse dans la chambre et ferme brusquement la porte sur elle.) Rentrez.
Qu’est-ce qu’il y a.
Hein ! Rien !
Dites-moi, ma femme est partie ?
Oh ! depuis longtemps. Elle m’a dit : Si mon mari vient, dites-lui que je suis au Louvre. Si vous voulez la retrouver.
Non, au contraire… ça va bien comme ça, parce que, je vais vous dire, il y a une dame… une dame de mes amies qui doit venir me reprendre ici.
Ici ? (À part.) Ah, çà ! il donne ses rendez-vous chez moi ?
Et j’aimerais autant qu’elle ne se croisât pas avec ma femme…
Oh ! parfaitement !… une intrigue, hein ?
Petite… une petite intrigue… Il est donc inutile que ma femme…
Oui, elle n’aurait qu’à vous infliger la peine du talion !…