Page:Fiel - L'étonnante journée, 1932.djvu/34

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Fi !… que c’est laid de dire des choses pareilles… à deux personnes qui sont toujours gentilles pour vous…

Suzette crut bon de ne pas répondre à ce reproche. Elle se dit qu’elle serait mieux dans sa chambre où elle pourrait s’occuper.

Avant d’y retourner, elle lança :

— Quand vous pourrez m’appeler pour déjeuner, je serai bien contente… Bob est perdu, mais ce n’est pas la peine que je meure de faim. Je tiens à ce que papa et maman me retrouvent vivante quand ils rentreront, pour qu’ils aient au moins encore un enfant…