auparavant, mais ne rendait pas compte de ses promenades.
Son frère se rapprochait de lui. Il semblait que des questions qu’il ne pouvait formuler flottaient sur ses lèvres.
Le départ eut lieu et Louise, avec des larmes sans paroles, étreignit son fils…
Fritz ne la quitta pas. Ils allèrent tous deux voir Mme Hürting qui restait l’amie accueillante et parfaite. Elle pressentit un événement en constatant les yeux encore rouges de Louise et en attendit la confidence.
Fritz la provoqua en disant :
— Wilhelm est en France… papa n’a pas bien agi dans cette circonstance… il aurait dû laisser maman accompagner mon frère…
Mais Louise l’interrompit très vite :
— Tu ne dois pas formuler de jugement sur ton père, mon enfant…
Mme Hürting plaida pour lui :
— Il est désolé, ce pauvre Fritz, de voir sa mère privée d’un voyage qu’elle aimerait tant faire !…
Louise soupira, silencieuse. Ses yeux errèrent