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LA FIN DU MONDE

analogue à celui de l’homme même le plus primitif, elle n’aurait pas tardé à dominer l’espèce humaine et à substituer une nouvelle race à la nôtre. Mais, l’intensité de la pesanteur terrestre s’opposant à ce que les races ailées acquièrent jamais un pareil développement, l’humanité perfectionnée était restée la souveraine de ce monde.

Vers le deux centième siècle environ, l’espèce humaine cessa de ressembler aux singes.