Je suis donc revenu ici où j’ai travaillé pendant un mois d’une façon gigantesque, quatorze heures, et une fois dix-huit heures par jour ! Bref la chose est faite. Carvalho est venu ici en entendre la lecture samedi dernier et me paraît fort content. Il croit à un succès.
Si l’on rend l’Oncle Sam de Sardou, je ne passerai qu’en janvier, ce que je souhaite ; sinon, je serai joué en novembre.
Je suis éreinté et je dors beaucoup. Voilà mon histoire.
Maintenant, je vais me remettre à mes effroyables lectures pour mon bouquin, que je ne commencerai pas avant un an.
Et toi, pauvre vieux, comment vas-tu ?
Merci de ton livre, mais je le connais déjà. Ce qui ne m’empêchera pas de le relire, car je le trouve très instructif, très amusant, très bien fait.
Comment se fait-il que depuis si longtemps je n’aie entendu parler de vous, Princesse ?
Votre silence commence à m’inquiéter, je n’ai rien de plus à vous dire, ou plutôt c’est ce que j’ai de plus important à vous dire.
Carvalho est venu ici, samedi dernier, entendre la lecture du Sexe Faible et il m’en a paru très content. Il croit à un succès.
Si L’Oncle Sam de Sardou est rendu par la cen-