Allons, adieu ; je n’ai que le temps de t’envoyer deux bons bécots.
Vieux.
Le jeune P*** chante des hymnes en l’honneur de ta peinture. Mais des éloges ! des éloges !
(Agence Nion.)
Ton mari est venu, hier, dîner à Croisset, et nous avons passé la soirée à deviser gentiment.
« Les Affaires » me paraissent prendre une assez bonne tournure. Il faut voir ce qui adviendra du côté de Mme Pelouze. Tâche d’être extra-aimable quand tu lui seras présentée, la semaine prochaine. C’est une bonne femme, avec qui il faut aller rondement.
[……] Si le voyage de Trieste s’effectue, vous serez peut-être partis avant que je ne sois retourné à Paris, où je vivrai seul pendant un bon mois.
Depuis ton départ, j’ai écrit à peu près cinq pages ; il m’en faut encore huit pour faire mes paquets et j’ai, de plus, bien des lectures à débrouiller…
Rien de neuf, mon Caro ! [……] Je continue mon existence de « petit-père tranquille », d’autant mieux que Chevalier a tué sa tourterelle.