Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
302
CORRESPONDANCE
1890. À GEORGES CHARPENTIER.
Croisset, par Déville, près Rouen, samedi matin.
[septembre-octobre 1879.]
Mon cher Ami,
Envoyez-moi le papier qu’il faut pour les deux dessins.
Dès qu’ils seront tirés, envoyez-moi les deux épreuves. Ma nièce désire les voir pour y retoucher.
Est-ce qu’il faut deux autographes ? Deux autographes en regard, ça me paraît coco ? Tout à vous.
1891. À GEORGES CHARPENTIER.
Mardi soir [Croisset, septembre-octobre 1879].
Mon cher Ami,
Vous commencez à me devenir très désagréables, vous et Bergerat, qui prend votre genre de ne pas répondre aux lettres qu’on lui envoie.
Donc je vous demande :
1o Ce que devient la Féerie ?
Où en sont les dessins ?
Quand paraît-elle ?
Et cette préface ?
N. B. — 2o Vu la rigueur de la saison, il me serait agréable de recevoir l’argent du dernier