réponse à ma dernière lettre qui concernait Melaenis.
Votre vieux.
Vous recevrez en même temps que ceci la fin de Salammbô [sic, pour Éducation sentimentale]. Je ne sais si j’ai donné le bon à tirer de ce qui s’étend de la page 506 à 511 ? Veillez-y. Quel imprimeur ! Regardez les en-tête de pages et la quantité de lettres qui sont de travers ! Enfin, c’est fini, Dieu merci !
Bergerat a dû recevoir dimanche matin, les deux dessins de Croisset[1]. Nous avons fait, ma nièce et moi, tout ce que nous avons pu pour satisfaire ledit rêve. S’il n’est pas content, zut !
Quand paraît le Château des Cœurs ? ne pas oublier la Chanson des Brises.
Quant à M. Lafitte[2], je sais qu’il admire le Voyage autour de ma chambre de Môssieu de Maistre ! ce qui me dispose médiocrement à lui être agréable. 2o Faire annoncer mon roman en plein succès de Nana me semble peu adroit. 3o Il est promis à Mme Adam. Et 4o, si l’on veut que je ne l’achève pas, c’est d’en parler main-