qui vous fera passer, je crois, un quart d’heure agréable[1].
Ma pauvre féerie[2] est bien mal publiée. On coupe mes phrases par des illustrations enfantines. Cela me restera dans ma haine des journaux.
Je vous baise les deux mains longuement, ma chère et bonne Princesse, et suis
Votre vieux fidèle et dévoué.
Voyez, mon cher ami, si vous pouvez faire quelque chose pour ce brave homme.
Je crois qu’il faut l’obliger, puisque son but est de propager la bonne littérature. Votre générosité peut être une réclame.
Et envoyez-moi tout de suite un exemplaire de Nana[3]. J’attends de l’avoir lu pour me mettre à mon dernier chapitre.
Tout à vous et aux vôtres.
Votre.
Lapierre m’envoie le numéro de l’Événement du vendredi 13 février (celui d’hier) où je vois que