vois l’analogie nulle part. Votre personnage principal crève les yeux, tant il a de relief et de puissance. J’aime moins la Mère Blanche, qui me paraît moins neuve. Je vous reprocherai çà et là une recherche d’archaïsme dans les mots.
Mais vous êtes un rude écrivain, mon cher ami ! Un véritable artiste !
Et je suis plus que jamais tout à vous.
Votre.
Monsieur Mulot, qui vous remettra la présente, vous expliquera comme quoi il nous serait agréable et utile que vous vinssiez tantôt chez Galli pour : 1o) y être nommé membre du comité Bouilhet, et 2o) nous donner un coup d’épaule contre les difficultés qu’on nous suscite.
En vous remerciant d’avance, une cordiale poignée de main, et tout à vous.
Merci pour le Voltaire.
[…] Ça c’est une bonne lettre ! Une véritable épître et qui m’a fait un plaisir dont je n’avais