La maison est prête et vous attend.
J’ai eu la visite de Carrière, lundi, et hier j’ai passé quatre heures de suite, sans bouger, à la bonne Bibliothèque de Rouen, d’où j’ai emporté des livres que j’avale en ce moment.
Adieu, pauvre chérie. Je t’embrasse bien fort.
Entièrement inédite.
Je suis bien en retard avec vous. Voici mon excuse : j’ai reçu vos Bonshommes au commencement de ce mois que j’ai passé presque tout entier à Paris. Là, j’ai été assailli de courses et d’affaires… j’espérais qu’un hasard vous apprendrait ma présence et je m’attendais à vous voir.
Je voulais vous dire le plaisir que m’a causé votre volume.
Tity Foyssac est une création. C’est travaillé, ciselé, creusé. L’observation, chez vous, n’enlève pas la poésie ; au contraire, elle la fait ressortir. L’enterrement de votre bonhomme est une merveille. J’ai connu des vieux dans ce goût-là.
Je ne connais pas de choses plus originales que votre Dux. L’objection que tout le monde vous fait et que je vous fais moi-même, à savoir que Baudelaire n’était pas comme ça, tombe d’elle-même, puisque vous ne nommez pas Baudelaire. Ce conte est une étude philosophique dont je ne