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Scène IV.
MUREL, ROUSSELIN.
Rousselin, entrant.
C’est inouï, ma parole d’honneur !
Murel, à part.
Rousselin ! À nous deux !
Rousselin.
Gruchet ! un Gruchet, qui veut me couper l’herbe sous le pied ! un misérable que j’ai défendu, nourri ; et il se vante d’être soutenu par vous ?
Murel.
Mais…
Rousselin.
D’où diable lui est venue cette idée de candidature ?
Murel.
Je n’en sais rien. Il est tombé chez moi comme un furieux, en disant que j’allais abjurer mes opinions.
Rousselin.
C’est parce que je suis modéré ! Je proteste également contre les tempêtes de la démagogie que souhaite ce polisson de Gruchet, et le joug de l’absolutisme, dont M. Bouvigny est l’abominable sou-