Une autre note sur les papiers-monnaies des Orientaux, et renvoyant à Julius Firmicus Maternus (livre I, chap. IV), pour une invocation aux planètes ;
À Caussin de Perceval : Essai sur l’Histoire des Arabes ;
Une lettre de la légation de France à Tunis, se terminant ainsi : « On trouve dans les montagnes de Jaffar, au N.-O. de Tunis, entre Carthage et Utique, un ravin ou plutôt une gorge profonde appelée Tenyet-el-Fez, le chemin de la Hache. C’est peut-être cela le défilé que vous cherchez » ;
Une lettre relative aux treize divinités vivant du temps de Salammbô, où il est dit : « Se défier de l’abbé Masden, dont les inscriptions ibériennes ou latines sont cousues de fautes » ;
Une note renvoyant à Lilia, Histoire de Carthage (t. IV, 1736), où se trouvent les amusements du cœur et de l’esprit ;
Une note sur le Rational du Grand-Prêtre ;
Une note sur les Nuraghs de Sardaigne (Petit-Radel, 1826), avec un plan à vol d’oiseau d’un Nuragh ;
Puis le dessin de la silhouette des monts : Diebel-Salata, Korn-Elheulfaïa (le piton de Elheulfaïa), Elhon-el-Kébir (le grand bas-fond), Diebel-boukhodra (le père de la verdure), Kaf-ed-deum (le rocher du sang).
Il est facile de compléter cette documentation par celle que Flaubert a indiquée lui-même dans les différentes réponses qu’il fit, soit à Sainte-Beuve, soit à M. Frœhner. (Voir Correspondance, III, p. 332, 348, 360.)