Page:Fleischmann - Le Rival de Sherlock Holmes.djvu/54

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


CHAPITRE V

L’homme à la barbe rousse vient donner le premier avertissement et William Hopkins commence l’enquête.



Le lendemain de cette visite au Standard Trust, pris d’une assez violente migraine, j’étais resté assez tard au lit. Vers dix heures environ la sonnette électrique éclata dans l’antichambre, et je reconnus le coup de pouce de William Hopkins. Il entra bientôt, tenant une dépêche à la main.

— Bonjour, Sanfield. Il y a du nouveau.

— Ah ! en vérité ?

Je me dressai sur mon lit.

— Lisez, dit Hopkins en me tendant le papier froissé.

Il se laissa tomber dans un fauteuil, alluma