Page:Fleischmann - Le Roi de Rome et les femmes, 1910.djvu/122

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Le Duc de Reichstadt... ; déjà cit., p. 358 et suiv.</ref>, le jeune homme s’y rendit, et, au moment de s’engager dans l’escalier, assez mal éclairé, de la maison, il se sentit saisir la main. Des lèvres respectueuses s’y posèrent avec un fiévreux enthousiasme. Dans la pénombre il parvint à distinguer la silhouette d’une femme « enveloppée dans un manteau écossais ». Surpris dans l’instant, et avant qu’il eût pu esquisser un mouvement, le baron d’Obenaus parut au haut de l’escalier. D’un coup d’œil il vit la scène.